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Partager pour ne pas oublier
Explorer NÉGATIFS, c’est voyager dans le temps et sur différents continents.
C’est accepter d’y découvrir une sensibilité parfois furtive dans certains clichés.
C’est ouvrir ses yeux sur un monde révolu et d’en apprécier les contours surannés.
C’est vivre l’aventure humaine tant en road trip qu’au front durant 14-18.
C’est partager l’émotion que j’ai tenté de mettre en exergue dans le site.
C’est se laisser surprendre et passer simplement un bon moment.
2022, juré d’assises dans le contexte « #Me too »
À l’automne 2022, je suis tiré au sort comme juré titulaire à la cour d’assises de Nanterre pour me prononcer sur une tentative de meurtre !
2019, Washington DC, juste une escale pour Noël
Premier séjour pour ma fille et moi aux USA. Escale à Washington DC puis road trip vers la Caroline du Nord pour un noël en famille.
2019, le Cotentin, un paradis en « petite Irlande »
Un an après la disparition de notre père, je m’apprête à fermer définitivement la maison familiale dans le Cotentin.
Photographie, un demi-siècle avec des boitiers argentiques
Passionné de photographie, mon père a utilisé des boitiers argentiques pendant un demi-siècle pour réaliser ses clichés en 616 ou 35 mm.
2018, mon père, cet inconnu que je connaissais « bien »
Évocation de la vie d’un père qui exprimait ses émotions à travers son objectif photo car il n’avait pas appris, ni su, dire « je t’aime ».
2012, une virée en Écosse sur les traces d’Harry POTTER
Fan d’Harry POTTER, j’embarque ma fille pour un long road trip sur les traces de son héros, de Londres jusqu’en terre d’Écosse.
Les 4 saisons d’un passionné de photographie
Passionné, mon père s’initie à la photographie en 1949 et multipliera les clichés durant les 4 saisons de sa vie, soit durant 50 ans.
1992, une femme presque ordinaire, ma mère
La vie d’une personne ne peut se résumer qu’à sa seule fin. Ainsi, j’ai cherché à savoir qui était la femme que nous avons eu pour mère.
Portrait, l’art de capter un instant de sincérité
Lors de la numérisation du fond photographique, j’ai découvert de nombreux portraits de famille, parfois très anciens et émouvants.
1989, Yémen, un road trip entre Khat et Kalashnikov
1989, pour son dernier grand voyage, mon père part pour un road trip au Yémen, dans le légendaire royaume de Saba.
1988, de Kiev à Moscou, voyage en URSS orthodoxe
Étonnant voyage que s’offre mon père en URSS en 1988. De Kiev à Moscou, il part découvrir la Pâque orthodoxe.
1987, Turquie, un périple entre antiquité et mosquées
Après son séjour très solitaire à Théra, mon père prend le contre-pied en choisissant un circuit organisé en Turquie.
1986, Santorin, balade en plein mythe de l’Atlantide
Mon père initie en cette année 1986 un rituel qui consiste à faire un voyage par an. Il part seul pour découvrir Santorin hors saison.
1984, Guadeloupe, un voyage dans le souvenir de ma mère
Mon père se rend en Guadeloupe en 1983 en mission pour la Caisse des Dépôts. C’est pour moi l’occasion d’évoquer les souvenirs de ma mère.
1983, VSLOM dans l’armée de l’air au Sénégal
Comme tous les jeunes, en 1983, je me dois de faire mon service militaire. Dans une impasse, je devance l’appel pour être VSLOM au Sénégal.
1983, de Alger jusqu’à la cité de Ghardaïa
Convié au mariage de l’une ses nièces, mon père de rend à Alger. À l’issu des noces, il embarque pour un road trip vers Ghardaïa.
1982, Maroc, un voyage comme bouée de sauvetage
La tribu séjourne au complet au Maroc en 1982. Notre père voit ce voyage comme la dernière chance de sauver son couple et sa famille.
1976, Caracas, symbole d’un urbanisme cannibale
Dans un Venezuela où le parti communiste est interdit, mon père est invité à découvrir l’urbanisme de Caracas en 1976.
1975, Égypte, croisière sur le Nil et en terre noire
Conformément au rituel instauré depuis 3 ans, mes parents partent en cette année 1975 à la découverte de l’Égypte, le long du Nil.
1974, Assinie, un club où il ne fait pas bon bronzer
Après le Sri Lanka l’année précédente, mes parents s’envole en cette année 1974 pour le Club Med d’Assinie en Côte d’Ivoire.
1973, American Way of Life, un échec made in USA
Convié à un voyage d’étude aux USA, mon père réalise un périple dans l’American Way of Life en apparence triomphant en 1973.
1973, le Sri Lanka, une perle dans l’Océan Indien
Après 10 ans à ne s’occuper que de leurs enfants, mes parents partent respirer au Sri Lanka, l’’ancienne Ceylan dans l’Océan Indien.
1968, l’urbanisme scandinave par un froid glacial
Voyage d’étude pour mon père qui part à la découverte d’un urbanisme scandinave à la veille des évènements qui marqueront la France en 1968.
1963, Douala au Cameroun, une miniature de l’Afrique
Dans le cadre du travail, mon père se rend Douala au Cameroun en 1963. Un pays où sa jeune épouse a vu le jour mais qui ne peut l’accompagner.
1963, Sicile, retour dans l’île en bonne compagnie
Jean-Paul épouse Annie en février 1963. Marqué par son précédent séjour à Cefalù, il revient en Sicile pour partager l’authenticité de l’île.
1962, Madagascar, l’île rouge au large de l’Afrique
Dans le cadre de son travail et après des escales à Dakar puis Abidjan, mon père reprend un vol pour Madagascar via Nairobi.
1962, Dakar et Abidjan, escales pour aller plus loin
1962, mon père effectue un déplacement professionnel à Dakar et Abidjan. Ce ne sont que d’intéressantes étapes avant d’atteindre Madagascar.
1961, la reine de l’Adriatique les pieds dans l’eau
1961, de retour de Brač et après avoir transité par Zagreb, mon père fait halte à Venise le temps d’une correspondance ferroviaire.
1961, Brač, l’île paradisiaque au large de Split
1961, passionné par la photographie et les voyages, mon père est invité en tant que moniteur de voile sur l’île de Brač en Yougoslavie.
1960, Caprera, une île aux 132 criques dans La Maddalena
1960, après avoir découvert le Club Med à Cefalu, mon père séjourne l’année suivante au village de Caprera dans l’archipel de La Maddalena.
1959, passion voile, naviguer avec Éole et Neptune
1959, mon père s’initie à la voile en Sicile. S’en suivra une passion pour la voile souvent contrariée par ses obligations familiales.
1959, voile au Club Med de Cefalù en Mer Tyrrhénienne
1959, premiers congés en tant que salarié pour mon père. À cette occasion, il part s’initier à la voile au Club Med de Cefalù en Sicile.
1959, art, brutalisme et photographie sur le chantier
1959, mon père se lance dans la vie active dans le secteur du bâtiment. Passionné par la photographie, le chantier devient artistique.
1958, de Oakland à New York à bord du California Zephyr
Le 8 août 1958 à Oakland, mon père embarque dans le California Zephyr à destination de New York où l’attend le Flandre.
1958, un détour par la « Going-to-the-Sun Road »
Mi-juillet 1958, Georges et Jean-Paul reprenne le road trip vers Seattle en commençant par un détour par la « Going-to-the-Sun Road ».
1958, un marathon du Golfe du Mexique à Yellowstone
14 juillet 1958, les 4 derniers voyageurs reprennent le road trip en entamant une folle remontée du Golfe du Mexique vers Yellowstone.
1958, des marais du Texas aux bayous de la Louisiane
Juillet 1958, la Chevrolet franchit la frontière à Brownsville et poursuit le long du Golfe du Mexique en direction de la Louisiane.
1958, Teotihuacán, un simple détour vers la frontière
Le 5 juillet 1958, le road trip devenu « rapatriement sanitaire » reprend vers la frontière avec le Texas avec un détour à Teotihuacán.
1958, Acapulco, un bain de minuit parmi les requins
Le mardi 1er juillet 1958, mon père et ses 5 camarades de road trip quittent Mexico à bord d’Aglaé à destination d’Acapulco via Taxco.
1958, Oaxaca, une excursion dans l’empire zapotèque
Été 1958, la Chevrolet de mon père étant immobilisée à Mexico, mon père se rend à Oaxaca de Juárez, en territoire zapotèque.
1958, Mexico, une ville construite sur un empire
Début d’été 1958 et à bord de sa veille Chevrolet, Jean-Paul et ses 5 camarades atteignent Mexico, l’ancienne capitale aztèque.
1958, Guadalajara en passant par le Tropique du Cancer
Fin de printemps 1958, le road trip se poursuit entre Guaymas et Morelia. Passage par Guadalajara et halte les rives du lac Chapala.
1958, un road trip XXL avec Aglaé au Mexique
Juin 1958, mon père et 5 camarades se lancent dans un road trip XXL à destination du Mexique à bord de sa vieille Chevrolet « Aglaé ».
1958, aux pieds des géants dans le Yosemite
Durant la période 1957-1958, mon père et ses camarades visitèrent le parc du Yosemite où résident des géants tant minéraux qu’organiques.
1958, dans l’ombre de John FORD à Monument Valley
Avril 1958, à 2000 kilomètres de Berkeley, mon père et ses camarades entrent dans Monument Valley à la frontière de l’Arizona et de l’Utah.
1958, deux nuits glaciales au fond du Grand Canyon
Avril 1958, après une très courte pause à Las Vegas, mon père et ses camarades de road trip atteignaient le Grand Canyon.
1958, Las Vegas, le Strip sous l’influence de l’atome
À Pâques 1958, mon père et ses camarades sortent de la Vallée de la Mort pour atteindre Las Vegas : Le choc culturel est à son paroxysme !
1958, quasiment seuls dans la vallée de la mort
À Pâques 1958, mon père embarque 3 camarades dans la Chevrolet pour un road trip qui débute par passage dans la Vallée de la Mort.
1958, un méchant blizzard sur le lac Tahoe
Février 1958, à bord de leur veille Chevrolet, mon père et ses camarades se rendent au lac Tahoe avec l’intention d’y faire du ski.
1957, Californie, balades et déboires sur la côte
1957, à bord de sa Chevrolet Styleline Coupé Deluxe, surnommée « Aglaé », mon père parcourt la côte de la Californie jusqu’à San Diego.
1957, un étudiant français à la Business School de Berkeley
Mon père arrive à San Francisco à la mi-septembre 1957 et en tant que boursier, il loge à l’International House Berkeley, pavillon français.
1957, destination USA à bord de la 3ème classe du Liberté
Mon père embarque au Havre le 10 septembre 1957 à bord du Liberté à destination des USA où il a décroché une bourse pour Berkeley.
1957, week-end pascal dans la Rome du pape Pie XII
À Pâques 1957, mon père accompagne quelques camarades dans un road trip afin d’assister à la bénédiction urbi et orbi au Vatican à Rome.
1955, escapade dans l’Espagne de FRANCO
1955, à l’occasion du retour de l’Espagne dans l’ONU, mon père réalise un road trip au départ de Paris direction Gibraltar en 2 CV !
1952, les derniers transatlantiques à Cherbourg
1952, à l’occasion d’escales des paquebots transatlantiques à Cherbourg, mon père réalise une série de clichés remarquables en film 616.
1951, des amateurs dans l’ascension du Col du Géant
1951, à l’occasion d’un séjour à Chamonix, mon père et une partie de la famille se lance en amateurs dans l’ascension du Col du Géant.
1950, un premier road trip au volant d’une Traction Avant
Août 1950, mon père a 18 ans et le permis en poche, le voilà parti en mode road trip à bord de la Citroën Traction Avant 11b familiale.
1949, la passion partagée d’un père avec son fils
1949, une série de clichés sur les locomotives montre une passion partagée entre père et fils, et ce malgré leur incapacité à communiquer.
1945, la fin et l’après-guerre dans le Cotentin
Jean-Paul FLEURY a désormais 13 ans en 1945. La guerre s’achève et sa maladie le reprend étrangement à cette époque pour ne plus le lâcher.
1945, récit d’une évasion à travers l’Allemagne nazie
Jacques FLEURY a 21 ans en 1943. Envoyé au STO en Allemagne avec ses camarades, il organise une évasion lors de la débâcle.
1944, Saint-Lô, ville martyre et capitale des ruines
Jean-Paul FLEURY a 12 ans en 1944. Il va vivre à Saint-Lô et aux environs des évènements historiques et certainement traumatisants.
1943, des raids aériens sur Saint-Lô occupée
Jean-Paul a désormais 11 ans en 1943. Les conditions de vie se durcissent à Saint-Lô en même temps que les combats se rapprochent.
1942, activité allemande et réquisition à Saint-Lô
Jean-Paul a 10 ans en 1942. Voici 3 ans que les Allemands ont vaincu la France. Comment alors imaginer que tout cela changera un jour ?
1941, vivre au quotidien dans Saint-Lô occupée
Jean-Paul a 9 ans en 1941. J’ai réuni quelques éléments de ses mémoires concernant le quotidien en période d’occupation à Saint-Lô.
1940, la solidarité familiale en période d’occupation
Jean-Paul vient d’avoir 8 ans en mars 1940. Les circonstances font que la maison Saint-Lô devient un refuge élargi pour la famille.
1939, une drôle guerre qui reste relativement lointaine
Jean-Paul a 7 ans en 1939. Il est le petit dernier de la famille FLEURY et nous livre ses souvenirs d’enfant lors de l’occupation.
1938, une jeunesse sous le signe de la maladie
Mon père contracte un rhumatisme articulaire aigu alors qu’il n’a que 6 ans en 1938. Cette maladie va lui pourrir sa jeunesse et ses études.
1938, souvenir d’un dernier été en paix en Cotentin
À l’été 1938, Jean-Paul a 6 ans. Dans ses mémoires, il nous conte ses souvenirs d’enfant de la période 39-45 dans le Cotentin.
1996, un dernier voyage pour affronter les peines de l’enfance
1996, Solange a 83 ans et réalise son dernier voyage en retournant en terre natale pour affronter les peines de son enfance.
1950, Lestiou, histoire d’un merveilleux jardin assassin
1950, Après plus de 20 ans passés outre-mer, Marcel achève sa carrière à Paris pour finalement acquérir un jardin à Lestiou.
1947, la Guadeloupe comme ultime séjour en outre-mer
1947, après 8 ans passé au Cameroun, Marcel est affecté en Guadeloupe après avoir refusé l’Inde en raison de ses 4 jeunes filles.
1944, une folle expédition pour aller en Afrique du Sud
1944, après 6 ans au Cameroun et en raison de leur état de santé, un médecin militaire décide d’envoyer la famille CRÉPIN en Afrique du Sud.
1938, une longue affectation coloniale au Cameroun
Après plusieurs années passées à Madagascar, Marcel, Solange et leurs 2 petites filles partent au Cameroun au début de l’année 1938.
1931, l’amour d’une vie l’attendait dans la brousse malgache
En cette année 1931, en pleine brousse malgache, Solange découvre enfin l’amour auprès de Marcel, et cette tendresse qu’elle espérait tant.
1930, du Cambrésis à Madagascar, l’aventure au bout du monde
Solange a 17 ans en 1930, elle a retrouvé sa mère et son père l’a rejeté. Elle s’apprête à vivre une grande aventure.
1926, une adolescence entre internat et privation de tendresse
Solange a 13 ans lorsqu’elle entre à l’internat de Pont-à-Mousson en 1926, en manque de tendresse parentale, elle se sent bien seule.
1917, premiers émois et souvenirs d’une fille de Lorraine
1917, Solange se souvient de ses premiers souvenirs de petite fille ; une mère rapidement absente, une vie pauvre et simple en Lorraine.
1919, un père aimant peut aussi mourir de chagrin
1919, le père d’Alexandre Eugène FLEURY se laisse emporter par le chagrin et la maladie pour ne pas survivre à son fils cadet.
1918, enfin la victoire mais avec un goût bien amer
1918, en ce début novembre, le Lieutenant Raymond FLEURY est enfin en route pour le front pour participer à la victoire.
1918, dans le dernier souffle de ses 20 printemps
1918, en ce mois d’octobre, Raymond espère le front pendant que son frère va y disparaitre dans le souffle de ses 20 printemps.
1918, enfin tous réunis au gré de permissions
1918, Raymond désespère de ne pouvoir se battre et Alexandre Eugène n’a qu’une hâte, retrouver les siens lors de la prochaine permission.
1918, l’offensive de la dernière chance est un échec
1918, l’offensive allemande censée rompre le front semble s’essouffler tournant même à l’échec au prix de lourdes pertes.
1918, la bataille du Kaiser pour un armistice négocié
1918, Alexandre Eugène participe à la Bataille du Kaiser avec le 225ème d’artillerie pendant que son frère aîné est coincé à Fontainebleau.
1918, une offensive ciblée et massive pour briser le front
1918, l’Allemagne prépare une offensive sans précédent en massant la quasi-totalité de ses divisions sur le front Ouest.
1917, fêter noël et le nouvel an en première ligne
1917, Raymond FLEURY est nommé instructeur à Fontainebleau pendant que son frère cadet passe Noël et le nouvel an au front.
1917, un triste anniversaire en première ligne
1917, après 3 ans de guerre, Raymond FLEURY « fête » son anniversaire sur la ligne de front. Le patriotisme exalté a fait place à la fatalité.
1917, fusillés pour l’exemple, l’échec du commandement
1917, des mutineries éclatent dans l’armée française. Pour les contenir, 49 soldats sont fusillés pour l’exemple.
1917, une mise au repos printanier bien mérité
1917, après des semaines de combat au Chemin des Dames, quasiment de guerre lasse, Alexandre Eugène et Raymond FLEURY sont mis au repos.
1917, un éclat d’obus dans le postérieur
1917, alors que l’offensive française se poursuit au Chemin des Dames, Alexandre Eugène est blessé au postérieur par un éclat d’obus.
1917, Chemin des Dames, une offensive de plus en enfer
1917, les officiers Alexandre Eugène et Raymond FLEURY sont engagés au Chemin des Dames au sein de leur régiment d’artillerie respectif.
1917, dans le froid et la boue avant la reprise des combats
1917, Alexandre FLEURY stationne avec la 56ème DI dans le froid au sein de la Marne. Pendant ce temps, Raymond attend son retour au 40ème.
1917, Marne, quand le froid se mêle au conflit
1917, Alexandre FLEURY et son régiment sont réaffectés dans la Marne. Au même moment, Raymond, son frère aîné, retourne à Fontainebleau.
1916, Somme, la stratégie du massacre de masse
1916, Raymond FLEURY et son régiment sont réaffectés dans la Somme. Au même moment, Alexandre, son frère cadet, y est engagé à son tour.
1916, Mort-Homme, un lieu qui porte bien son nom
1916, le 40ème régiment d’artillerie est engagé dans la bataille de Verdun et surtout au Mort-Homme, un lieu désormais synonyme d’horreur.
1915, la dernière charge de la cavalerie française
1915, le 40ème régiment d’artillerie est transféré en Champagne pour participer à l’offensive orchestrée par le Général JOFFRE.
1915, Argonne, un baptême du feu en forêt
1915, Raymond a été affecté au 40ème régiment d’artillerie positionné en Argonne. À 20 ans à peine, il va subir son baptême du feu.
1914, devenir officier pour être un meneur d’hommes
1914, Raymond poursuit son instruction militaire et ambitionne d’être nommé officier avant son baptême du feu.
1914, mobilisation, une plongée brutale dans la vie adulte
1914, si Raymond veut intégrer un jour Polytechnique, il doit devancer la mobilisation et s’engager dans l’artillerie !
1914, une vie française dans l’avant-guerre
1914, Raymond a intégré le Lycée Saint Louis à Paris afin d’y faire « Math spé » sans imaginer un seul instant qu’il vivait l’avant-guerre !